Le Franc CFA (XOF) est en cours au Sénégal.
Au 27/09/2017
100 XOF = 0,1524 EUR.
100 XOF = 0,1876 USD.
De nombreuses banques et distributeurs de billets sont présents dans les principales villes du pays. Il est tout à fait possible d'utiliser sa carte de crédit, visa ou Mastercard.
Il est conseillé d'avoir sur soi un peu de liquide en franc CFA pour les achats du quotidien.
Les banques ouvrent généralement leurs portes du lundi au vendredi de 8h30 à 11h et de 14h30 à 16h.
PIB/hab. : 1 307 $/hab. Le Produit Intérieur Brut par habitant est l'ensemble des valeurs des biens et des services générés par l'activité économique d'un pays (hors amortissements), divisé par le nombre d'habitants. La FRANCE a un P.I.B. de 21 175 $/hab.
Indice du Coût de la Vie 75,4. L'indice du coût de la vie est l'indicateur de la cherté d'un pays. Il a pour référant PARIS avec une base de 100
I.D.H : 0,416. L'Indicateur de Développement Humain est un indicateur complet des aspects économiques et sociaux d'un pays. La FRANCE a un I.D.H. de 0,917.
Les ressortissants français peuvent importer 200 cigarettes, une bouteille de spiritueux, une bouteille de vin ainsi qu'un flacon d'eau de toilette ou de parfum.
Au Sénégal, dans les restaurants ainsi que dans les cafés, vous pouvez laisser un pourboire, mais il convient de ne pas en laisser dans les gargotes.
Sénégal
Économie
Avec un PIB de 13,47 milliards de dollars USC (données 2010), le Sénégal dispose de la quatrième économie de la sous-région ouest africaine. Jusqu'ici bon élève africain, le pays a pourtant vu sa croissance économique baisser depuis l'année 2009 et compte parmi les PMA (Pays les Moins Avancés), avec 50% de sa population vivant en dessous du seuil de pauvreté.
En comparaison avec les autres pays africains, le Sénégal est très pauvre en ressources naturelles. La pêche et le tourisme constituent ainsi ses principales recettes. Toutefois, le pays est largement industrialisé avec la présence de nombreuses multinationales sur son territoire.
Bien qu'employant près de 70 % de la population active, le secteur primaire ne contribue aujourd'hui qu'à 15 % du PIB. L'agriculture en particulier, souffre de la diminution de la pluviométrie et de la crise du secteur de l'arachide.
La croissance est majoritairement soutenue par le secteur des télécommunications et poussée par une forte augmentation des investissements publics dans les transports.