SHILLING Kenyan (KES)
Au 27/09/2017
100 KES = 0,8246 EUR.
100 KES = 0,9681 USD.
Le dollar américain et l'euro sont facilement acceptés dans le pays. Préférez effectuer le change dans les bureaux de change plutôt que dans les banques, car le taux y est plus avantageux. Il est très facile de payer par carte bancaire et de retirer de l'argent dans les nombreux distributeurs. Les chèques de voyage ne sont quant à eux quasiment plus acceptés par les banques.
Les banques ouvrent du lundi au vendredi de 9h à 15h et souvent également le samedi matin.
Il est strictement interdit d'exporter des parties d'animaux en voie de disparition et protégés par la Convention de Washington comme l'ivoire, les peaux, les trophées ou le corail.
Vous pouvez importer jusqu'à 250g de tabac, 2 litres de vin ou 1 litre d'alcool et du parfum ou de l'eau de toilette pour une contenance de 500 ml.
La plupart des hôtels du Kenya facturent un service de 10%. Pour les autres services, il est d'usage de laisser un pourboire.
Kenya
Économie
Le Kenya est la première économie de l'Afrique de l'Est. Depuis 2009, le gouvernement a entrepris un vaste plan d'investissement pour relancer la croissance. Bien que 40% de la population vive sous le seuil de pauvreté, une classe moyenne a fait son apparition, qui contribue notamment à la demande intérieure.
Le secteur primaire permet au Kenya d'être autosuffisant pour les ressources de base comme le maïs. La deuxième ressource du pays est le thé. Le marché des fleurs coupées connaît également un important développement. Avec les roses, la quatrième ressource du pays, le Kenya est devenu le premier fournisseur de roses en Europe. Le secteur industriel ne joue pas un grand rôle dans l'économie, contrairement à la production hydroélectrique. Le tourisme est la troisième ressource du pays.
Le Kenya était endetté à hauteur de 50, 90% du PIB en 2010 et a subi une forte inflation en 2011. Mais selon le FMI, son taux de croissance a atteint 5, 3% en 2010-2011. Les principaux problèmes du pays sont la dépendance énergétique, les mauvaises infrastructures et la dépendance du secteur agricole aux intempéries.